par sylvain1888 » jeu. 23 mai 2019 01:21
Si la série de 2016 a récupéré plusieurs éléments de celle de 85 comme le couteau suisse de Mac, la veste en cuir, la passion des trombones etc et même un acteur, Elya Baskin (Bons baisers de Moscou) dans le cas présent c'est un des principaux acteurs de l'air RDA, puisqu'il s'agit de Bruce McGill, oui Bruce McGill le "vrai" Jack Dalton, oui celui même qui entraîne Mac dans divers aventures et surtout coup foireux, bon plus rien de ce genre, notre Bruce légendaire sera un simple flic de LA, qui se complaire a interroger Mac, de plus le gros point noir c'est qu'il n'y' aura aucun signe de son personnage de la "belle époque" pas un clignement d’œil, pas une allusion, ni son nom de perso qui pourrait songer au passé rien. la seule chose c'est à la fin quand Mac le salut, il a son bras dans un bandage, comme dans l'épisode Jenny la Chance, les fans sera de quelle scène je parle. Toujours est-il réjouissant de voir un "ancien" dans la nouvelle série, qui d’ailleurs se dote d'un bon scénario, très bonne histoire, bien attractif, voir palpitante de bons acteurs qui donnent tout le soir de Noel, et ceux dés le début Mac et Jack déguisé un délice une bonnes doses de plaisanterie la veille de noël.
L'autre surprise c'est Murdoc, qui a comme habitude d’apparaître là ou on l’entend le moins et en plus dans l'appart de Sam, inédit pour nous. celui de Mac mieux décoré et illuminé que l'année dans la saison 1 Joyeux noël ceci dit, le mug Père Noel revient dans cette saison 2 comme les oreilles de cerf de Bozer mais c'est un chapeau différent, sans compter divers décorations ou le lait de poule.
En résumé: Un très bon polar, qui nous livre un Mac dans une situation inédite, Bruce est notre cadeau de Noel c’est un plaisir de le revoir des années après la fin de la série d'origine.
A noter: Le titre de cette épisode est une référence à la saison 1 de 1985 Pris au piège, de plus les deux épisodes ont pour numéro commun le 11 dans l’ordre de diffusion.
Matty offre à Mac pour cadeau une boite de trombone, comme Patricia l'année dernière.
Si la série de 2016 a récupéré plusieurs éléments de celle de 85 comme le couteau suisse de Mac, la veste en cuir, la passion des trombones etc et même un acteur, Elya Baskin (Bons baisers de Moscou) dans le cas présent c'est un des principaux acteurs de l'air RDA, puisqu'il s'agit de Bruce McGill, oui Bruce McGill le "vrai" Jack Dalton, oui celui même qui entraîne Mac dans divers aventures et surtout coup foireux, bon plus rien de ce genre, notre Bruce légendaire sera un simple flic de LA, qui se complaire a interroger Mac, de plus le gros point noir c'est qu'il n'y' aura aucun signe de son personnage de la "belle époque" pas un clignement d’œil, pas une allusion, ni son nom de perso qui pourrait songer au passé rien. la seule chose c'est à la fin quand Mac le salut, il a son bras dans un bandage, comme dans l'épisode Jenny la Chance, les fans sera de quelle scène je parle. Toujours est-il réjouissant de voir un "ancien" dans la nouvelle série, qui d’ailleurs se dote d'un bon scénario, très bonne histoire, bien attractif, voir palpitante de bons acteurs qui donnent tout le soir de Noel, et ceux dés le début Mac et Jack déguisé un délice une bonnes doses de plaisanterie la veille de noël.
L'autre surprise c'est Murdoc, qui a comme habitude d’apparaître là ou on l’entend le moins et en plus dans l'appart de Sam, inédit pour nous. celui de Mac mieux décoré et illuminé que l'année dans la saison 1 Joyeux noël ceci dit, le mug Père Noel revient dans cette saison 2 comme les oreilles de cerf de Bozer mais c'est un chapeau différent, sans compter divers décorations ou le lait de poule.
En résumé: Un très bon polar, qui nous livre un Mac dans une situation inédite, Bruce est notre cadeau de Noel c’est un plaisir de le revoir des années après la fin de la série d'origine.
A noter: Le titre de cette épisode est une référence à la saison 1 de 1985 Pris au piège, de plus les deux épisodes ont pour numéro commun le 11 dans l’ordre de diffusion.
Matty offre à Mac pour cadeau une boite de trombone, comme Patricia l'année dernière.
